LES AMIS DU PATRIMOINE ET DE L’ENVIRONNEMENT

COMPTE RENDU ASSEMBLEE GENERALE

du 11 AVRIL 2008

******** M. Marc CHAZAUD / M. Gérard FAURE / M. René GUERPILLON / M. Joannès PORTE / M. Jean-Paul CARRET / Mme Josiane NAYRAND / Mme Hedwige CARRET / Mme Christiane BRENIER./ Mme Colette CHENE / M. Pierre BRENIER / M. Dominique GUINAMARD / M. Gilles GAVANIER / M. Patrick REGUILLON / M. Bernard ADELL / Mme Françoise GAVANIER / Mme Marie-Claude ADELL / M. Jean-Claude CHAUSSE / Mme Dominique REGUILLON / Mme VICARD / Mme Odile CHAZAUD / Mme Bernadette BROUSSE / M. Jean-Yves DENIS / M. Marc NAYRAND / Mme Michèle BERON /M. Fernand BERON...

************************* M. Michel FOISY / Mme Catherine ALIBERT / M. et Mme VIALLON / Mme Josette GUERPILLON / M. Henri CHIREIX…

==> PROCEDER à l'étude de toutes les questions historiques, généalogiques, scientifiques et autres intéressant le Patrimoine et l'Environnement de la région.

==> PARTICIPER activement à la Protection du Patrimoine et de l'Environnement

==> EFFECTUER sous réserve des autorisations nécessaires toutes les interventions de mise en valeur.

==> FAVORISER les actions d'information et PROMOUVOIR l'éducation dans les domaines de la Protection du Patrimoine et de l'Environnement en collaboration étroite avec les actions des associations régionales.

Nous poursuivons régulièrement nos échanges avec les associations régionales du patrimoine :

- Maisons Paysannes Rhône (sauvegarde du bâti rural ancien et de son environnement),

- Patrimoine rhônalpin (regroupement régional d’associations qui valorise le patrimoine de Rhône-Alpes),

- Il convient toutefois de constater la mise en sommeil de la Fédération du Patrimoine du RHONE à laquelle nous avions adhérée. La valorisation et l’animation (avec la commune) du site de la chapelle de RIPAN est toujours d’actualité. Le programme de restauration des PUITS (puits GOUTAVE, RIPAN) se poursuit… Grâce à Internet, la vulgarisation du musée Marcel ROUX (peintre graveur 1878-1922) continue sachant qu’en 2007 nous avons participé activement à sa promotion (inauguration de sa rue, exposition école, acquisition d’œuvres (à titre privé) même si le dossier Base de Données des peintres régionaux avec ACOLADE n’a pas encore abouti.

EN 2007, nous avons participé activement au Groupe de travail sur le prochain contrat de rivière dans le cadre des commissions de la CCPA, et à la Commission Locale d’Information et de Suivi des carrières LAFARGE avec l’Association BREVENNE PANCU. Par contre, il convient de s’interroger sur le devenir de COROLE (Coordination Rhône Ouest Lyonnais Environnement) avec qui nous avons oeuvré toutes ces dernières années sur la prévention de production des déchets : recyclage, réduction à la source sachant que le CCDED se met progressivement en place sur notre secteur.

Les informations financières de l’association sont à votre disposition auprès de M. PORTE. Il importe de noter quelques faits saillants :

- Obtention d’une subvention du Conseil Régional de 1500 € au profit des classes musicales des écoles de BESSENAY

- Attribution d’une subvention 150 € à l’association ALARME ( non inscrits Brocante)

Quelques réponses aux questions proposées

Bessenay 11 Avril 2008

J’ai essayé d’apporter certains compléments et d’être plus concis et direct.

Organisme génétiquement modifié : organisme dont le matériel génétique a été modifié autrement que par multiplication ou recombinaison naturelles. C’est cette définition culturelle plutôt que scientifique ou technique qui alimente les débats contradictoires depuis de nombreuses années. Le texte est d’ailleurs conscient de la difficulté de l’exercice et a mis en annexe la liste des techniques (artificielles ou naturelles) qui rentrent dans le cadre légal.  http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000161523&dateTexte=

Définition de la FAO (plus pragmatique) : un organisme qui a été transformé par l’insertion d’un ou plusieurs transgènes.

Ici on s’intéressera aux plantes OGM mais la technique s’applique à tous les organismes vivants et est d’ailleurs largement utilisée pour les microorganismes utilisés en milieu confiné (processus industriels) mais aussi disséminés dans l’environnement de façon contrôlée (l’un des 1ers OGM disséminé en France en 1993 est un virus recombinant utilisé dans un appât ciblant les animaux vecteurs de la rage pour servir de vaccin).

Certaines caractéristiques (résistance aux insectes, qualité d’huiles, résistance aux virus…) ne peuvent être obtenues de façon classique / conventionnelle par simple croisements entre individus interféconds. Les progrès en biologie cellulaire et moléculaire ont rendu possibles ces nouvelles techniques et ont apporté un outil de plus aux sélectionneurs et améliorateurs des plantes. C’est aussi perçu comme une évolution normale des solutions techniques qu’offrent les grandes compagnies agrochimiques qui doivent diversifier leurs produits et accompagner le progrès…… : si demain on ne soigne plus les plantes par des produits phytos mais en rendant les plantes capables de résister par elles mêmes en leur insérant un ou plusieurs transgènes leur conférant des propriétés nouvelles et innovantes, alors il faut investir dans ces nouvelles technologies.

3) Quels sont les avantages que sont susceptibles de présenter les plantes génétiquement modifiées ?

Une réponse plus détaillée, très récente et en français est donnée par Georges Pelletier (INRA & Académie d’Agriculture) : http://agribiotech.free.fr/pelletier.htm

Voir réponse précédente à laquelle je rajouterai l’exemple du coton en Inde : en 6 ans d’adoption du Coton Bt en Inde, le rendement a été x par 2 et les traitements insecticides divisés par 3. Quatre millions de petits fermiers (1Ha en moyenne) ont adopté cette technique qui couvre maintenant 66% du coton Indien et l’Inde est maintenant exportatrice de coton. L’Inde a d’ailleurs fixé elle-même en 2006 le prix des semences OGM (ce qui montre que les grands semenciers n’ont pas tout le pouvoir qu’on leur prête !)

5) Quels sont les risques que présentent les OGM pour l’environnement ou la santé ?

Les risques envisagés (toxicité, allergénicité, transferts de gènes,…..) sont étudiés et évalués lors du développement de l’OGM (8 à 10 ans et 15mio€) et revus par des comités d’experts indépendants lors de l’homologation de l’OGM.

« Il n’y a aucune raison de supposer que les éléments issus des processus biotechnologiques conduisent à des risques de nature différente de ceux produits via la sélection conventionnelle. » (Conclusions de nombreuses académies scientifiques et de la commission Européenne.)

Je rajouterai que certains des transgènes introduits dans les OGM sont des gènes présents dans notre alimentation ou qui sont communs à de nombreux organismes vivants.

Le risque de transfert de gènes n’est pas lié au processus utilisé (OGM ou variété conventionnelle) mais lié au trait considéré : une plante rendue tolérante à certains herbicides par « mutation classique » n’aura pas moins de risque de transferts de gènes qu’un OGM qui aura acquis cette caractéristique par génie génétique.

Les risques perçus liés à l’environnement sont tout à fait gérables avec les pratiques agricoles classiques et ne sont pas de nature différente de ceux rencontrés avec les variétés conventionnelles.

Chaque pays a développé ses propres réglementations. Les plus « contraignantes » sont probablement celles adoptées dans l’Union Européenne. Il faut compter 3 ans en moyenne entre le dépôt du dossier et l’autorisation finale par la commission européenne (import ou culture)

Une petite animation (en Anglais mais très didactique !) est disponible sur le site GMO-Compass (sur le menu droit : Animation: The Authorisation Process in Motion! Applying, consulting, and making a decision: The long and winding road to GMO authorisation in the EU)

Le site gmo-compass est très riche en information et notamment sur les OGM autorisés (base de données très complète)

De nouvelles caractéristiques vont être accessibles aux technologies OGM : résistance aux stress, réduction des intrants (les engrais azotés sont le poste le plus couteux en terme d’€ mais surtout de coût énergétique pour sa fabrication), composition nutritionnelle, résistance aux maladies, adaptation des produits végétaux pour les processus de transformation en aval (faire des fibres naturelles qui ne se froissent pas èpas besoin de repasser !), aliments moins allergéniques,….

Ce qui est à espérer, c’est une harmonisation des réglementations et une équivalence entre les évaluations faites dans les pays (pour peu que ces pays appliquent les protocoles reconnus et acceptés par la communauté scientifique).

Les produits OGM (grain, sous produits,….) sont eux soumis aux règles du commerce mondial (OMC) dès lors que les OGM en question ont été évalués et autorisés comme étant équivalents. Certains pays exigent une transparence dans l’étiquetage pour informer le consommateur et ceci est parfaitement légitime (c’est le cas de l’Europe).

Comme pour n’importe quelle innovation, les entreprises investissent dans les nouvelles technologies, déposent des brevets et valorisent ainsi leurs recherche et leur investissement. Des compagnies très innovantes ont pu bénéficier d’une certaine avance qui a par ailleurs stimulé les compétiteurs. Actuellement, le monopole de fait qui pouvait exister sur les 1er OGM a fait place à une compétition où tous les grands acteurs proposent des solutions OGM plus ou moins complémentaires.

Le système des brevets est une garantie d’exploitation pendant un certain temps mais en contrepartie impose la publication précise et informe donc la concurrence.

Très peu de pays autorisent les brevets sur le vivant (plantes ou animaux) : USA, Australie, Japon. Tous les autres ont un système spécifique pour les obtentions végétales ou animales qui n’empêche pas l’accès à la diversité génétique.

Son objectif est de contribuer à régir « les mouvements transfrontières, le transit, la manipulation et l’utilisation de tout OGM qui pourrait avoir des effets défavorables sur la conservation et l’utilisation durable de la diversité biologique et comporter des risques pour la santé humaine ». Il est imprégné de l’approche de précaution et en fait une condition d’application, telle que prévue au principe 15 de la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement adoptée en 1992 lors du Sommet de la Terre à Rio.

Pour les produits commerciaux, les accords tels que ceux de l’OMC s’appliquent. Pour interdire l’entrée d’OGM il faut justifier d’arguments scientifiques ou liés au respect de la biodiversité. Par exemple certaines régions qui sont les centres d’origine des espèces cultivées ont limités pour l’instant la présence d’OGM de l’ espèce considérée.

Voir la question 9 et le site associé. Une grande partie des exportations de grains en provenance des US sont OGM (pour le soja, le maïs, le coton). Par contre il n’y a pas encore d’OGM commerciaux de blé (bien que tout soit prêt techniquement).

Les exportations depuis les US doivent dans tous les cas respecter les règles des pays qui importent en matière d’étiquetage et de traçabilité. Certains producteurs peuvent profiter de certains marchés de niche « non OGM » et doivent pouvoir certifier que leurs productions est sans OGM, ce qui ne veut pas dire 0% mais « inférieur à 0,9% » (on autorise une présence fortuite d’OGM autorisés jusqu’à ce seuil de 0,9% en Europe ; ce seuil variant suivant les pays è il est de 5% au Japon)

Non. Les seules semences commercialisées en France jusqu’à aujourd’hui étaient le maïs Bt Mon810 (résistant à la pyrale et à la sésamie). Les récentes polémiques ont conduit à la suspension de cette autorisation et ce jusqu’à ce que l’EFSA (l’agence Européenne de sécurité des aliments) donne un nouvel avis. Même si l’avis de l’EFSA ne fait pas de doute (aucune nouveauté scientifique comme rappelée lors de leur réunion de fin Janvier è http://www.efsa.europa.eu/EFSA/Event_Meeting/GMO_Minutes_39th_plenmeet.pdf), cela prendra un certain temps et empêchera que des maïs OGM soient légalement semés cette année en France.

15) Les OGM font-ils l’objet d’une surveillance après leur mise sur le marché ?

Oui. Les risques spécifiques éventuels identifiés lors de l’évaluation scientifique par l’EFSA doivent faire l’objet d’une surveillance particulière (mais aucun OGM commercialisé ne rentre dans cette catégorie ; mais ce pourrait être le cas pour des OGM producteurs de médicaments,….). Tous les OGM sont par ailleurs soumis à un monitoring post commercial dit « général ». Par exemple le suivi de la résistance des insectes fait partie de ce monitoring. Il faut rappeler que les autorisations ne sont données que pour 10 ans et à l’issue de cette période, le dossier de l’OGM est revu à la lumière des données générées durant les 10 ans de commercialisation.

Pas plus que pour un aliment non OGM de la même variété. Le risque allergène est un critère étudié lors du développement et pris en compte lors de l’évaluation finale du produit.

La réglementation OGM est un volet d’une réglementation plus complète sur les « nouveaux aliments ». Tout nouvel aliment doit être évalué selon cette nouvelle réglementation et il est à parier que l’introduction du Kiwi en Europe comme nouvel aliment ne passerait plus les tests s’il devait être évalué aujourd’hui …. Pour cause évidente d’allergie.

18) Dans quels produits alimentaires peut-on trouver des OGM et leurs dérivés ?

La réglementation des OGM étant axée sur le process et non uniquement sur le produit final, même un produit final qui ne contiendrait aucune trace de protéine ou d’ADN devrait être étiqueté comme OGM. Par exemple si un produit contenait du sucre produit à partir de betterave OGM, ce produit devrait être étiqueté comme OGM alors même que le sucre cristallisé est un produit pur qui ne contient plus aucune trace de protéine ou d’ADN.

PS : la mention amidon modifié que l’on peut lire sur certaines compositions de produits n'indique pas une provenance OGM mais simplement une modification chimique subie par l’amidon avant son incorporation dans le produit final.

et un petit dernier récemment visionné sur un site Québécois qui est abordable pour les enfants de 10-14 ans

Je reste bien sûr à votre disposition pour toutes questions spécifiques ou compléments dont vous auriez besoin…..

COMPTE RENDU REUNION

du 15 Mai 2008

******** M. Marc CHAZAUD / M. Gérard FAURE / M. Joannès PORTE / M. Jean-Paul CARRET / Mme Hedwige CARRET / Mme Colette CHENE / M. Dominique GUINAMARD / M. Gilles GAVANIER / M. Bernard ADELL / Mme Françoise GAVANIER / M. Hervé CUENOT / M. Jean Claude RAYMOND / M. Joannès PORTE / Mme Michèle BERON / M. Fernand BERON / Mme Véronique SEBASTIEN / M. Daniel LABAUME……

********* Mme Josette GUERPILLON / M. René GUERPILLON / Gérard PROTIERE/ Mme Christiane BRENIER …

Après discussion, le bureau actuel du Conseil d’Administration est reconduit comme suit :

Vice-présidente : Mesdames Christiane BRENIER et Françoise GAVANIER ( responsable des Relations Extérieures avec les associations)

Le nettoyage du site et divers travaux (sol, porte…..) est prévu le Samedi 31 mai à partir de 10 h. Jean Paul CARRET et ses amis pécheurs nous convient ensuite au traditionnel apéritif de la journée de la pêche. L’extérieur de la chapelle de RIPAN a déjà fait l’objet de taille (forsythia) et nettoyage (orties). Groupe de travail: Hedwige CARRET, Marc CHAZAUD, Françoise GAVANIER, Daniel LABAUME, Gérard FAURE…..

Nb : la nappe confectionnée et brodée main par Mme PIQUET de Panissières est opérationnelle depuis la mi-mars ( coût pour l’APE : 60€).

Nous sommes en attente de l'expertise de Véronique DURON pour bien connaître la faisabilité de sa restauration

- PUITS JOUBAN : Gérard FAURE en liaison avec Michel BERTHIER prend contact avec le propriétaire pour accord et la signature de la Convention.

A4- MONOGRAPHIE BESSENAY

Jean Claude RAYMOND et Fernand BERON poursuivent leurs travaux avec M. BERGEON. Ce dernier est intéressé par l’ensemble des photos ( cartes postales) de BESSENAY. Suite acquisition du logiciel de numérisation, M BERGEON nous cédera l’ensemble de ses droits sur les clichés en sa possession. Les gravures de Valentin PELOSSE, grâce à Joannès PORTE, seront intégrées au retirage de l’ouvrage.

A5- RANDONNEE du 15 juin/ Journée du Patrimoine de Pays

La randonnée est inscrite auprès de la FNASSEM. Le projet d'animation en rapport avec le patrimoine de pays comprend une ballade avec visite de puits, le moulin du Tallot, le domaine de la Rouillière et si possible l’installation de panneaux photovoltaïques de Thierry MANCEAU , animateur d’HESPUL. L’accompagnement par Pierre JERPHANION ( Musée de la Mine de St.Pierre La Palud) ou un membre de la société de minéralogie de L’ARBRESLE n’est pas confirmé à ce jour. La réalisation du tract ( 150 exemplaires) sera proposée à l’Office du Tourisme de BRUSSIEU. Le matériel promotionnel de la FNASSEM comprend 10 affiches et 4 fléchages En raison de notre inscription, nous serons dans le programme national diffusé sur internet et bénéficierons de la campagne presse nationale.

Véronique SEBASTIEN se charge de ''relooker'' notre support publicitaire sur la base des EXPOSITIONS ou ANIMATIONS prévues :

è possibilité de fabriquer des ustensiles de cuisine en terre (tasses, assiettes, plats…)

è SPONSOR : La cave Coopérative de Sain Bel a donné son accord pour « sponsoriser » comme de coutume notre manifestation.

A vos archives ! ! Ne jetez plus vos vieux papiers ! ! ! L’association des Amis du Patrimoine et de l’Environnement recherche des documents anciens, photographies… ayant trait à l’histoire de BESSENAY et ses environs (vie locale, sportive, associative, professionnelle…) afin d’enrichir ses collections.

Si vous possédez de tels éléments, pensez à l’association

(possibilité de reproduction et de restitution des documents)

- Tél. 04.74.70.87.99 -

Le projet de contrats de rivière BREVENNE TURDINE sera validé en JUIN au niveau des différentes communautés de Communes. Un contrat de rivière est un document contractuel signé entre un porteur du projet (le SYRIBT), les maîtres d’ouvrages des actions inscrites (Syndicat d’Assainissement), l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée Corse, la région RA, le Conseil Général et l’Etat. Il planifie sur une durée de 6 ans un ensemble d’actions visant à améliorer le fonctionnement et la qualité générale des milieux aquatiques avec 3 volets :

Volet B : Restauration, protection et mise en valeur des milieux aquatiques et des paysages, gestion quantitative, gestion des inondations...

Volet C : Suivi du contrat avec une politique de communication et d’animation

Le contrat décrit avec précision la liste des actions proposées et leur financement. En ce qui concerne notre secteur, il prévoit entre autres :

è la mise en valeur des points de vue sur les vallées de La Brevenne et de la Turdine avec un projet de TABLE D’ORIENTATION permettant de valoriser les paysages et du patrimoine liés à l’eau, de montrer la place des rivières dans le paysage structural naturel et anthropique.

è une AIRE DE LAVAGE des atomiseurs au profit des agriculteurs ( à proximité de la bascule CCPA ou à la nouvelle déchetterie ou à la STEP de La Brevenne…...)

è Création d’ouvrages de débit réservé sur les retenues collinaires ayant un impact direct sur le déséquilibre quantitatif ( opération pilote sur le ruisseau de La Vorelle / Goutte du Crapet)

è Action de réduction des pollutions par les pesticides ( zone prioritaire ( Conan/ Glavaroux)

Jean Claude RAYMOND et Fernand BERON nous exposent leur première expérimentation dans le domaine de la découverte du Conan ( petit patrimoine bâti, faune, flore...). L’étude du projet va prendre en compte et valoriser les inventaires ZNIEFF et les travaux du monde associatif déjà réalisés ( Association des pécheurs, CORA avec M. DI NATALE...)

M. José DOUILLET, délégué à l'environnement, développement durable et gestion de l'eau sur la commune de l'Arbresle souhaite organiser une semaine de l'environnement sur la première semaine de juin (en lien avec la semaine nationale de l'environnement) avec des temps forts en direction de la population ou des établissements scolaires...et notamment le dimanche 8 juin (toute la journée), Ils sollicitent les producteurs bio pour un marché biologique sur la place Sapéon de L’ARBRESLE et les associations, exposants et acteurs de l'environnement pour réaliser des informations, des expositions, des ateliers ludiques, des découvertes sur le thème de l'environnement. L’APE est favorable à une participation ( Françoise GAVANIER / Colette CHENE) sur la thématique des PUITS ( restauration) et le contrat de RIVIERE BREVENNE TURDINE.

Fernand BERON nous décrit le projet culturel de l’Ecole de Bessenay sur la thématique du cinéma et une action écologique et pédagogique à destination des enfants dont l’objet est la découverte, la sensibilisation ….. à notre propre environnement avec création d'un bois, d'une forêt…. L’association apporte son soutien plein et entier à cette initiative qui est en pleine cohérence avec nos actions environnementales.

=> Jeudi 19 juin 2008 à 20h 30 : réunion Salle rue du Nord (réalisation planning 2° semestre)

=> Mercredi 27 août : visite découverte de la Chapelle de Ripan avec l’Office de Tourisme

Tout d'abord, à l'initiative de l'Araire et sous la direction de Marie-Thérèse Lorcin et Jean-Pierre Houssel, ce sont 10 passionnés qui ont travaillé à la rédaction de l'ouvrage "Le Plateau Lyonnais - Coteaux et Vallons". De la fondation de Lugdunum avec son arrière-pays et ses 4 aqueducs, le Moyen Age, les vignerons de Thurins du XIIIème siècle à nos jours, mais aussi plus près de nous les coquetiers et les blanchisseurs, sans oublier la modernisation des campagnes depuis 1950 et la révolution fourragère ainsi que la sauvegarde de notre patrimoine linguistique plus communément appelé "patois" : tels sont les thèmes abordés dans cet ouvrage.

Autre nouveauté à inclure dans votre bibliothèque : "A cha peu", une réédition de Françoise Salmon et Antoine Françon. Le sous titre de ce livre est "Mille mots et expressions de la langue de chez nous". Les auteurs ont profité de cette réédition pour ajouter des anecdotes afin d'illustrer les définitions des termes décrits, mais aussi un curieux petit lexique des onomatopées utilisées pour communiquer avec les animaux de la ferme ! Vous pourrez dévorer ce livre ou le lire "a cha peu", c'est à dire petit à petit...

b) - Le musée de la blanchisserie participe à la Journée du Patrimoine de Pays le samedi 14 juin 2008 et propose « Une journée au pays des Blanchisseurs » le matin visite d’un atelier de blanchisseur resté en l’état et l’après midi : visite du musée et projection d'un filme retrçant l'histoire dela blanchisserie.

Possibilité de déjeuner au bord de l’Yzeron ou dans les nombreux restaurant du village. C’est l’occasion de découvrir le musée de la blanchisserie et son étonnante collection lors d’un moment convivial. Une visite commentée est proposée afin de découvrir le métier de blanchisseur et replonger dans l’atmosphère d’une lessive d’autrefois. La journée est à 2 euros. Musée de la blanchisserie, 104 avenue J. Gladel, 69 290 Craponne. Renseignements : 04 78 57 15 40 ou 04 78 57 23 37. Courriel: grehc.contact@free.fr

Grâce à l’action menée par Brigitte HENON et Véronique SEBASTIEN lors de l’exposition TIBET organisée dans le cadre de la FOIRE aux Fleurs, un cheque de 80 € sera prochainement adressé à l’Association

Le prochain stage d’initiation au PISÉ se tiendra aux Rivières à BESSENAY le Samedi 21 Juin. Des places sont encore disponibles. Pour tout renseignement complémentaire MERCI de contacter le plus rapidement possible Françoise GAVANIER. (objet du stage : technique d'enduit à la terre et sable sur mur en pisé – le samedi 21.06 – Lieu : les rivières d'en bas – 40€/personne – déjeuner possible sur place (10€) ou apporter son repas – animateur : Bruno GOUTTY)

Un courrier sera prochainement adressé à l’association Rés’OGM info en vue de nous dédommager des prestations de Lilian Céballos : 133, 90 € de frais de déplacement et 100 € d’intervention.

Michèle BERON est en train d’assurer la Mise à Jour de notre fichier adresse pour l’envoi des bulletins de l’Association. MERCI de lui transmettre la liste des associations ou structures souhaitant recevoir notre bulletin de liaison.

L’association mandate Fernand BERON dans la recherche d’un prestataire (maxi 200 € + collation).